Lu dans la presse
L’Amap pour une agriculture paysanne
Article publié dans Ouest-France, le 29 mars 2018
Lu dans la presse
Article publié dans Ouest-France, le 29 mars 2018
Lu dans la Presse
Article publié dans Ouest-France, le 29 mars 2018
Vous avez jusqu’au 7 avril pour vous inscrire à l’action collective en justice via le cabinet LEXPRECIA à 48 € par dossier, au lieu d’une action individuelle à 480 €.
Lien : https://mysmartcab.fr/
Un procès local aura lieu à partir de 100 inscrits par région.
Dossier disponible sur INC Consommation
La France dispose d’un des plus grands domaines skiables au monde. C’est pourquoi, chaque année, 10 millions de touristes se rendent dans les 350 stations de ski françaises (source). Et même si ski rime avec plaisir, c’est également un sport qui peut comporter des risques.
En effet, “131 409”, tel est le nombre moyen de blessés chaque année lors de la pratique de l’activité de ski d’après une étude de l’association Médecins de Montagne (voir “Dossier Presse 2018 sur le site de l’association“).
A travers 2 fiches pratiques,
accidents de ski et responsabilités et Skis et Assurances
l’Institut national de la consommation met à votre disposition toutes les informations nécessaires pour être bien protégé contre les risques que peut représenter la pratique des sports d’hiver;
Si les abeilles disparaissaient de la surface du globe, l’être humain n’aurait plus que quatre années à vivre, dit-on.
Aujourd’hui, nous y sommes, les abeilles sont véritablement en danger.
L’une des principales causes ? : L’usage outrancier des pesticides.
Alors, pour sauver ce qui le reste encore, pensez aux abeilles avec ces plantations.
Avec l’arrivée du printemps, pourquoi ne pas casser les règles du jardin décoratif à la française et joindre l’utile à l’agréable ?
à lire dans l’article de Mr Mondialisation
Pionnière en la matière, la Norvège vient d’investir dans l’installation de lampadaires intelligents sur une portion de ses routes.
Un investissement innovant en la matière, qui pourrait permettre au pays d’économiser plusieurs centaines de milliers de kilowatts par an.
Mais au-delà de la facture d’électricité, la démarche s’inscrit dans une volonté de respecter l’environnement.
Un lampadaire intelligent qui s’adapte à la circulation
En l’absence de trafic ou de visiteurs (à pied ou à pattes), les lampadaires mis au point par l’entreprise norvégienne Comlight n’éclairent qu’à hauteur de 20% de leur capacité pour offrir une lumière tamisée.
Une voiture, un cycliste ou un piéton fait son apparition sur la route, et les lampadaires s’éclairent à pleine puissance — pour s’éteindre de nouveau une fois que le véhicule ou le passant s’est éloigné.
Une technologie qui va encore plus loin en calculant la vitesse des véhicules, et en adaptant un éclairage progressif le long de la route, permis par la communication sans fil établie entre les différents lampadaires.
Enfin, les LED offrent de la lumière avec une très faible consommation électrique.
Exemple à Suivre
UN TEMOIGNAGE EXCEPTIONNEL
de Julien Donzé et Bernard Genier
A voir sur :
Julien Donzé (plus connu sous le nom de Le Grand JD) est parti sur l’île de Bornéo pour voir de ses propres yeux à quoi ressemblait la culture de l’huile de palme et quelles pouvaient être les conséquences de ce business juteux sur l’homme et la nature.
L’huile de palme serait à l’origine d’une catastrophe écologique.
Mais de quoi parle-t-on vraiment ?
En quoi se gaver de pâte à tartiner, manger des biscuits ou se laver les cheveux (oui, on trouve aussi de l’huile de palme dans des shampooings) pose un problème à qui que ce soit ?
Pour avoir une réponse à cette simple question, il n’y a qu’à jeter un œil à cette vidéo édifiante, passionnante et bouleversante
Lien vers l'article
N’attendons pas que des lois viennent changer la règle du jeu.
Tant qu’il y aura des fortunes à gagner, on trouvera toujours des gens prêts à raser la jungle et à éliminer ses habitants (Bernard Genier l’explique très bien dans la vidéo).
Mais dès lors que plus personne n’acceptera de cautionner ce massacre par ses achats, alors, ce qui reste sera sauvé.
Faites passer le message
Lu dans Sciences et Avenir
IMPRESSIONNANT
SCANDALEUX
En seulement 1h30, l’ONG européenne a notamment récolté 23.000 mégots aux abords du Bassin parisien de La Villette.
L’antenne parisienne de Surfrider Foundation Europe organisait dimanche 25 mars 2018 la cinquième édition de sa grande collecte de déchets, Initiative océane, aux abords du Bassin de la Villette. En restant 1h30 sur place, les bénévoles ont eu le temps de constater et prouver les dégâts. Les chiffres sont sans appel puisqu’ils font état de 23.000 mégots, 4.150 capsules de bières, 430 gobelets en plastique, 300 bouteilles en plastique, 300 canettes, 70 pailles ou encore 45 bâtons de sucette retrouvés aux abords du Bassin de La Villette. Des “touillettes” en plastiques, des briquets, des seringues, des piles ou encore des tickets de métro faisaient également partie de la récolte.
Les bénévoles ont aussi eu la surprise de découvrir des objets un peu plus insolites comme un micro-ondes, une trottinette, un casque de moto, des bidons de produits d’entretien ou une bonbonne de gaz. “Il est toujours impressionnant de voir tout ce que l’on ramasse en si peu de temps et dans un petit périmètre”, commente Lionel Cheylus, co-responsable de l’antenne parisienne de Surfrider. “Les mégots constituent toujours le déchet que l’on retrouve le plus. Puis vient le plastique et le fléau des bouteilles en plastique qui pullulent sur les trottoirs.” Or, Surfrider fondation rappelle que “sur son parcours, un mégot peut à lui seul polluer jusqu’à 500 litres d’eau“.
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