Archives de catégorie : environnement

Environnement : A Rouen, l’eau potable menacée par un dépot géant de pesticides

A Rouen, l’eau potable menacée par un dépôt géant de pesticides

Article à lire sur Reporterre ICI

La préfecture de Seine-Maritime a autorisé la construction d’une plateforme de stockage de produits chimiques. Pourtant, elle connaissait les conclusions d’un rapport géologique signalant le risque « élevé » de pollution des eaux potables de la métropole rouennaise.

« Ceci conduirait à mettre en péril l’alimentation en eau potable du secteur, et notamment au niveau de la métropole Rouen Normandie » 

 

Alors que la préfecture se penchait sur l’étude d’impact et d’autres documents justifiant la construction de cette nouvelle plateforme de pesticides, elle a sollicité le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM) pour en savoir plus sur les conséquences éventuelles pour la qualité des eaux qui approvisionnent la métropole de Rouen.

Ce rapport a été rendu aux autorités le 6 juin 2017.

Voici sa conclusion : « Dans l’état des connaissances actuelles, il ressort que le risque est a priori élevé, que des polluants introduits dans le sous-sol au droit du site du Projet Odièvre, se retrouvent à court, moyen ou long terme dans plusieurs captages destinés à l’alimentation en eau potable situés en aval, en particulier dans ceux situés dans les vallées du Crevon, du Haut-Cailly, voire du Robec. Ceci conduirait à mettre en péril l’alimentation en eau potable du secteur, et notamment au niveau de la métropole Rouen Normandie. »

Article complet de Reporterre téléchargeable

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Environnement : Consultation Européenne sur les Pollinisateurs

ACTION – Participez à la consultation européenne sur les pollinisateurs

 

 

La commission européenne a lancé une consultation publique jusqu’au 5 avril au sujet de son initiative sur les pollinisateurs sauvages.

FNE et l’OPIE, association membre de la fédération, vous invitent à répondre à cette consultation  car nous pensons que ce sujet est mobilisateur.

Vous trouverez le texte invitant à répondre sur notre site Internet ainsi que notre réponse qui peut inspirer la vôtre.

Comment participer ?

Pour toutes ces raisons, nous vous invitons à participer à la consultation de la Commission européenne en cliquant sur le bouton ci-dessous.

Cette consultation est constituée d’un questionnaire d’une quinzaine de questions fermées et ouvertes. Pour y répondre, nous vous suggérons de vous inspirer des réponses faites par France Nature Environnement et de l’OPIE mais gare aux copier coller dans les questions ouvertes : la Commission risque d’exclure ces réponses. Pour participer et inviter votre entourage à en faire de même, vous avez jusqu’au 5 avril.

Page de la consultation

Réponses de FNE

Environnement : Les Echos jardiniers : Deux heures pour aborder les décoctions et autres macérations !

Décoctions et macérations au jardin

Deux heures pour aborder les décoctions et autres macérations !

 

Les Echos Jardiniers, avec les jardins partagés de Mondeville

dans le cadre de la semaine des alternatives aux pesticides (qui se déroule du 20 aux 30 mars)

Vous invitent à une animation, le dimanche 25 mars de 14h à 16h sur le jardin Farré (pas loin du stade Farré)

l’intérêt d’utiliser des décoctions, des macérations, des infusions et des purins au jardin.

Nous partagerons différentes recettes ainsi que leurs divers usages.

Evènement Facebook

Environnement : Le premier supermarché inversé de France : un véritable exemple en matière de recyclage

Le premier supermarché inversé de France est un véritable exemple en matière de recyclage

 

Initiative très interessante en matière de recyclage Vue sur 

Les habitants de la petite commune de Vayres en Gironde expérimentent depuis presque un an, un nouveau système de déchetterie, unique en France, qui pourrait bien être l’avenir du recyclage.

UN SUPERMARCHÉ INVERSÉ

Le 18 mars s’est tenue la première journée mondiale du recyclage sur l’initiative du BIR (Bureau of International Recycling). Une journée qui célèbre les initiatives prises par les états et les communautés pour trouver des solutions durables concernant la gestion de nos déchets. Et on ne peut pas dire que la petite commune de Vayres en Gironde est en marge de cette transition qu’elle juge obligatoire.

Le concept est simple et unique en France : ça s’appelle Smicval Market et ça fonctionne comme un supermarché inversé. Les membres peuvent venir y déposer leurs objets obsolètes et en récupérer d’autres qui leur seront utiles. Remplaçant la sortie familiale Ikea du dimanche, le troc se fait en toute simplicité.

Des compartiments sont réservés à chaque type de produits ou de matériaux. Besoin d’une cafetière ? Rendez-vous au rayon cuisine. Besoin de vis ? Le rayon bricolage vous sauvera la mise. Vous pourrez même trouver le canapé de vos rêves dans le coin décoration !

Lire la totalité du reportage ICI 

Environnement : Pesticides : l’alerte sur nos cours d’eau

Pesticides : l’alerte sur nos cours d’eau

Encore plus de pesticides dans nos cours d’eau ? C’est non !

À Messieurs Stéphane Travert et Nicolas Hulot,

 

En France, il est interdit d’épandre des pesticides dans certaines zones, dites “de non traitement”, en bordure de cours d’eau. Malheureusement, un arrêté ministériel passé en mai dernier introduit un flou dans la définition de ces zones.

Résultat, certains départements en ont profité pour exclure près de la moitié des aires qui étaient jusqu’alors protégées.

92 % des cours d’eau surveillés en 2013 contenaient des pesticides1. Vous trouvez le constat alarmant ? La situation risque malheureusement de s’aggraver à cause d’un arrêté ministériel fraîchement adopté.

En effet, depuis le 4 mai 2017, les préfets ont davantage de pouvoir pour définir les zones de non traitement (ZNT), bandes de 30 cm à 5 mètres en bordure d’un point d’eau sur lesquelles il est interdit d’épandre des pesticides.

Contre toute logique, certains préfets en profitent pour être bien plus laxistes sur la protection de nos cours d’eau.

Auparavant, les préfets devaient a minima s’appuyer sur les données contenues dans les cartes au 1/25 000ème de l’IGN.

Avec le nouvel arrêté, plusieurs préfets ont choisi des cartes encore moins précises, élaborées souvent sous la pression de certains syndicats agricoles.

Résultat : elles excluent de nombreuses zones et cours d’eau jusqu’alors protégés des pesticides.

Par exemple, dans le Tarn et Garonne, 30 % des aires préalablement protégées ont purement et simplement été exclues2.

En Indre-et-Loire3, ce sont 43 % des zones de non traitement aux abords des cours d’eau qui ont désormais disparues.

Dans le Gard 4, la comparaison des cartes est à elle seule éloquente.

Malheureusement, France Nature Environnement pourrait multiplier les exemples de cette nature.

Avec France Nature Environnement, demandez à Stéphane Travert et à Nicolas Hulot de garder nos cours d’eau #LoinDesPesticides : signez la pétition.

Environnement : Nouveau plan pesticides

Nouveau plan pesticides : 15 jours pour agir et demander au gouvernement de prendre en compte la demande citoyenne

 

URGENT : agissez pour que le gouvernement prenne en compte la demande citoyenne de forte réduction de l’usage des pesticides et de protection des populations dans le futur « plan pesticides ».

Le gouvernement a présenté le projet de futur « plan pesticides » le 18 janvier dernier. Ce plan est très insuffisant et ne permettra pas en l’état de conduire à une forte et rapide réduction de l’usage des pesticides ni de protéger convenablement les populations exposées (riverains, professionnels…).

Il reste 2 semaines pour convaincre le gouvernement d’inclure dans le plan pesticides les mesures nécessaires !

Nous avons besoin de vous pour soutenir nos principales propositions et demander au gouvernement de les inclure dans le plan pesticides qu’il arrêtera à la fin de ce mois en signant notre pétition, et ce avant le 30 mars date prévue de finalisation du plan !

  •  Priorité 1 : Il est nécessaire d’interdire rapidement l’usage de tous les pesticides de synthèse dont les substances actives sont les plus préoccupantes pour la santé et l’environnement les cancérogènes, mutagènes et reprotoxiques certains, probables ou possibles ainsi que perturbateurs endocriniens avérés ou suspectés.
  • Priorité 2 : La mise en place de mesures de protection immédiate des populations est prioritaire. Nous demandons donc la mise en place de zones sans traitement avec pesticides de synthèse dans les 100 mètres de toutes les propriétés à usage d’habitation afin de protéger la santé des plus sensibles et particulièrement de la femme enceinte.
  • Priorité 3 : Il faut que la France s’engage à impulser une réforme totale de l’évaluation des pesticides en Europe notamment en exigeant que l’ensemble des études scientifiques disponibles et leurs conclusions soit prises en compte afin de mettre un terme à la situation actuelle scandaleuse dans laquelle ce sont les études fournies par les industriels qui servent de base à l’évaluation des pesticides !
  • Priorité 4 : Il est impératif que l’INRA augmente de manière considérable les budgets consacrés à la recherche sur des systèmes de cultures économes en intrant, y compris à travers une recherche participative avec les agriculteurs les plus performants dans ce domaine. Les produits de cette recherche devront ensuite être diffusés via des organismes de transfert (cf. Agrotransfert en Picardie) et les réseaux DEPHY.
  • Priorité 5 : Il faut impérativement que l’objectif de réduction de 50 % de l’usage des pesticides d’Ecophyto soit rappelé à ce stade ainsi que son indicateur de référence national NODU (basé sur le nombre de doses) et que la société civile soit associée à sa gouvernance !

Signez la pétition Générations Futures

Environnement : faisons interdire les pesticides néonicotinoïdes

Le 22 mars, faisons interdire les pesticides néonicotinoïdes

PETITION Lancée par 

L’industrie phytosanitaire mène une guerre chimique contre la nature.

Les pesticides neurotoxiques les plus dangereux sont utilisés dans l’agriculture, tuant les insectes dits nuisibles mais aussi les abeilles et autres pollinisateurs.

Demandons l’interdiction totale de ces poisons, y compris au dernier venu, le Sulfoxaflor.

Les groupes chimiques BASF, Bayer, Dow et Syngenta fabriquent de très dangereux pesticides neurotoxiques.

Utilisés dans l’agriculture, les insecticides tuent non seulement dans les champs où ils sont pulvérisés mais aussi dans d’autres zones, transportés par le vent.

Un groupe de substances est particulièrement mortel pour les abeilles, bourdons et autres insectes pollinisateurs : les néonicotinoïdes.

En 2008, l’ensemencement de graines traitées aux néonicotinoïdes avait conduit à la disparition massive d’abeilles dans la vallée du Rhin.

Face à l’effondrement des colonies d’abeilles en Europe, l’UE a décidé en décembre 2013 la suspension pour une période de deux ans des trois néonicotinoïdes clothianidine, imidaclopride et thiaméthoxame ainsi qu’à une forte restriction du Fipronil.

Décision contre laquelle les groupes chimiques Bayer, BASF et Syngenta ont déposé plusieurs plaintes auprès de la cour européenne.

Entre-temps, le groupe Dow Chemicals a développé le Sulfoxaflor un nouvel insecticide neurotoxique autorisé par la Commission européenne en juillet 2015.

Les pesticides responsables de plus de 200.000 morts par an selon ONU

En février 2017, l’ONU a alerté sur les conséquences catastrophiques des pesticides en évaluant à 200 000 le nombre de décès provoqués par leur usage chaque année.

Après des années de protestations et d’alertes, la Commission européenne propose enfin l’interdiction complète des néonicotinoïdes à l’air libre rapporte le quotidien britannique The Guardian.

Les États-membres doivent se prononcer en vue d’une décision pouvant avoir lieu à la mi-mai.

Merci de signer et de partager notre pétition pour l’interdiction définitive des néonicotinoïdes et de tous les autres produits neurotoxiques comme le Fipronil et le Sulfoxaflor en Europe.

Lettre

Au Parlement, à la Cour de justice et aux gouvernements des États membres de l’Union européenne

Madame, Monsieur,

Nous vous demandons d’agir à l’interdiction définitive de l’utilisation de tous les pesticides neurotoxiques, néonicotinoïdes et Fipronil en tête, dans l’agriculture.

Les évaluations de l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) ainsi que des études scientifiques indépendantes démontrent la dangerosité de ces insecticides pour les abeilles et font un lien entre ceux-ci et l’effondrement des colonies d’abeilles à travers le monde.

Le Sulfoxaflor, nouveau venu du groupe Dow Chemicals parmi ces pesticides neurotoxiques, a été autorisé par la Commission européenne en juillet 2015.

La Cour d’appel de Californie a décidé l’arrêt de l’utilisation du Sulfoxaflor en septembre 2015 suite à des plaintes déposées par des défenseurs des abeilles et de l’environnement. Le tribunal a motivé sa décision par la « dangerosité pour les abeilles » et par le manque de « preuves substantielles » fournies par le fabricant.

Nous vous demandons en conséquence d’agir sans plus attendre pour faire interdire le Sulfoxaflor.

Plus généralement, nous estimons l’utilisation de pesticides neurotoxiques, tueurs d’innombrables insectes (appelés) nuisibles mais aussi utiles comme les abeilles et les bourdons, absolument inadmissible d’un point de vue écologique, éthique et légal.

Nous vous prions de croire, Madame, Monsieur, à l’assurance de notre considération et de notre vigilance citoyenne.

SIGNEZ LA PETITION

Environnement : IL EST TEMPS DE CHANGER NOTRE MODE DE VIE

IL EST TEMPS DE CHANGER NOTRE MODE DE VIE : RIEN NE SE JETTE, TOUT SE RECYCLE

Article à lire absolument,

 sur  le thème : Rien ne se jette, tout se recycle

Le philosophe grec Anaxagore l’avait dit : « Rien ne naît ni ne périt, mais des choses déjà existantes se combinent, puis se séparent de nouveau »

Extraits :


La nature possède un cycle parfait. Telle une boucle, ce qui naît est voué à mourir, puis à renaître. Chaque naissance et chaque mort est bénéfique : les feuilles tombent et créent des fertilisants, les fruits redonnent naissance à d’autres arbres, les fleurs fanent pour renaître, les animaux meurent et nourrissent également un autre écosystème, etc. L’Homme ne fait pas exception à cette règle. En revanche, son activité reste bien souvent en contradiction avec les lois de la nature.


Sommes-nous vraiment dans une impasse écologique ou bien l’Homme laisse-t-il gouverner la loi de la surconsommation ?

Le jour se lève et se couche pour revenir, les saisons s’essoufflent pour renaître l’année d’après, le cycle de la nature est ainsi fait. Pour les êtres vivants, cela reste encore difficile à définir. Chaque être naît, vit, puis meurt, mais nul ne sait vraiment s’il revient à nouveau. Quoi qu’il en soit, chaque vie qui s’éteint permet à une autre de s’éveiller.


L’Homme est le seul être vivant capable de transformer, aménager, construire et faire durer son habitat. Pourtant, doté d’une intelligence supérieure, il est aussi le seul à détruire et polluer autant la planète. Cette prise de conscience fait doucement son chemin, à tel point que de nombreuses solutions sont aujourd’hui proposées pour ne plus rien jeter, tout réparer, tout recycler : des denrées organiques, jusqu’aux objets que l’Homme crée pour son besoin.

montagne de déchets

NOUS DEPENSONS POUR PARAITRE, ET NON PLUS POUR ETRE


Aujourd’hui, en dépit de la loi Hamon, beaucoup préfèrent racheter un produit neuf plutôt que de faire réparer l’ancien. Cela revient au même prix et parfois même moins cher. Mais ce que le consommateur ignore, c’est que la durée de vie des pièces est courte et pousse donc à racheter un même produit tous les 3 ou 8 ans en moyenne. Une aubaine pour les fabricants et les revendeurs, mais beaucoup moins pour le porte-monnaie du consommateur

 

Repair Café

LE PRINCIPE DES REPAIR CAFÉ EST DE RÉAPPRENDRE UN SAVOIR-FAIRE PERDU EN LE TRANSMETTANT AUX AUTRES


De nombreuses initiatives, comme les « Repair Café », fleurissent un peu partout en Europe, mais aussi en France. Il est possible d’y amener ses objets cassés en vue de les faire réparer. Des « docteurs réparateurs professionnels bénévoles » y attendent leurs « patients objets cassés ». Le but ? Lutter contre l’obsolescence programmée et surtout, devenir un lieu de partage. Dans ces endroits particuliers, l’échange est le maître mot. Les réparateurs apprennent aux propriétaires comment réparer et le font ensemble, afin de transmettre un savoir. Les outils et le matériel sont disponibles sur place et tout s’y répare, du vêtement, en passant par les jouets, les gadgets électroniques, les vélos, motos, meubles, etc. Que vous soyez dans le besoin, que vous rouliez sur l’or, que vous souhaitiez apprendre ou juste aider, tout le monde y est le bienvenu.


LE RECYCLAGE EST L’AFFAIRE DE TOUS

Pratiquement tout ce que nous produisons et utilisons est recyclable en toute autre chose.


Plus l’humanité avance et plus elle perd ses fondamentaux, ceux-là mêmes qui ont fait de l’Homme, l’être évolué et intelligent qu’il est aujourd’hui. Réparer, recycler, recréer est une nécessité. Cette prise de conscience doit être inculquée dès le plus jeune âge afin de pouvoir changer les choses. Les générations futures en dépendent

Petit bonus, saviez-vous qu’il était possible de fabriquer des mouchoirs en papier avec du caca de panda ?!

Environnement : Pêche électrique suite : L’Assemblée Nationale Vote “NON” à l’unanimité

l’Assemblée nationale vote à l’unanimité l’interdiction de la pêche électrique en Europe

 

Vous avez signé notre pétition pour demander l’interdiction de la pêche électrique et vous avez été entendu-e : la Commission Pêche puis le Parlement européen ont voté pour son interdiction le 16 janvier dernier. Le combat n’est pas fini…

Avant-hier, le 06 mars, c’est au tour de l’Assemblée nationale de se prononcer unanimement pour son interdiction.

Nous sommes fiers de vous associer à cette nouvelle victoire qui marque le large soutien des parlementaires français à notre campagne sans laquelle le sujet n’aurait pas émergé dans l’espace public

Prochain objectif de campagne : continuer à maintenir la pression sur la France et convaincre les autres États membres

Article à Télécharger

environnement : Alerte DICAMBA, nouvel Herbicide Monsanto/Basf

Dicamba : le nouvel herbicide dévastateur de Monsanto va faire très mal

Dites NON au DICAMBA

Lu dans “La Relève de la peste”


Après avoir officialisé leur accord puis s’être développé aux Etats-Unis, BASF et Monsanto souhaitent mettre en place leur nouvelle formule d’herbicide en France.

Alors que la Commission européenne a plié, il y a quelque mois, sous le poids des lobbys en accordant 18 mois de sursis au Roundup, Monsanto souhaite mettre en place un nouvel herbicide en France.

En effet, depuis plus de 50 ans Monsanto commercialise des produits toxiques et collectionne les scandales sanitaires. Et pourtant, après l’herbicide cancérigène dénoncé par l’OMS (Roundup), c’est un nouvel herbicide « tératogène » que l’entreprise souhaite mettre en place sur le territoire français.


Le nouvel herbicide de Monsanto : Dicamba


Ce produit ne possède pas les mêmes propriétés que le glyphosate, mais la substance serait tératogène. Ainsi, elle provoquerait l’altération du processus de reproduction, développerait des masses cellulaires anormales, provoquerait des douleurs musculaires, AVC ou encore des problèmes respiratoires.

Face à ce constat alarmant et alors que les grands médias opèrent un silence complet, des pétitions sont lancées en France. Adressées au ministre de la Transition écologique et solidaire, Nicolas Hulot, ces pétitions souhaitent faire barrage à l’utilisation des herbicides de Monsanto sur le sol français.

Pour signer la pétition destinée à Notre Ministre, M Nicolas Hulot, c’est ICI