En ce début d’année, nous aurions aimé faire assaut d’optimisme à l’occasion des vœux de bonne année. Les indicateurs environnementaux que le gouvernement égraine avec plus d’un an de retard sont pourtant bien sombres.
En 2018, la vente des pesticides a augmenté de 24% alors qu’ils doivent baisser de 50% d’ici 2025.
De même, plus de 380 000 tonnes de nanoparticules ont été utilisées dans la plus parfaite opacité.
Dans les cantines scolaires, la part de bio peine à atteindre 4,5% pour un objectif de 20% d’ici au 1er janvier 2022.
Dans quelques mois, des expérimentations vont être lancées avant de généraliser la 5G, augmentant encore l’exposition aux champs électromagéntiques des riverains des antennes relais.