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Environnement : semaine européenne du développement durable

Chaque année, du 30 mai au 5 juin, a lieu la Semaine Européenne du Développement Durable.

Objectif ?

Promouvoir le développement durable et sensibiliser chaque citoyen à ses enjeux.

Pendant sept jours, de nombreux acteurs, individuels ou collectifs, se mobilisent et organisent des actions dans toute l’Europe.

L’an passé, 3 978 initiatives avaient été recensées dans 30 pays, membres ou non de l’Union Européenne.

Rien qu’en France, 1 291 activités ou événements avaient été organisés !

La semaine européenne du développement durable contribue à sensibiliser les citoyens aux 17 Objectifs de Développement Durable fixés par les états membres des Nations Unies.

Ces objectifs doivent être atteints à l’horizon 2030 et ont pour but de protéger la planète, de garantir la prospérité pour tous et d’éradiquer la pauvreté.

Les activités ou les événements (à découvrir ici) gravitent autour de plusieurs grands thèmes, comme la « bonne santé et le bien-être », la « consommation et la production responsable », les « inégalités réduites », etc…

Les initiatives sont variées et peuvent prendre la forme, par exemple, de défis cuisine, de restaurants solidaires ou de festivals.

C’est parti pour une semaine indispensable à l’avenir de notre environnement et de ceux qui l’habitent !

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Amap : Demandons à nos députés clarté et transparence sur l’étiquetage de nos aliments

Nous avons jusqu’à vendredi prochain pour mobiliser les députés

Nous voulons un étiquetage de nos aliments clair et transparent

Avec nos achats alimentaires, chacun de nous « vote » pour un modèle agricole.

Seulement, sans disposer d’un affichage clair et uniforme, comment voter pour une agriculture plus respectueuse de l’environnement, du bien-être animal et de notre santé ?

Avec France Nature Environnement, demandez à vos députés jusqu’au 25 mai d’établir un étiquetage permettant à chacun de consommer éclairé.

Ensemble, mobilisons les députés pour obtenir une étiquette claire sur les conditions de production de nos aliments, en nous informant sur :

  • le revenu reversé à l’agriculteur.
  • le mode d’élevage : en batterie ou en plein air, nourri au soja OGM ou à l’herbe du pré ?
  • le mode de production : combien de traitements pesticides ? La biodiversité a-t-elle été prise en compte ?
  • le pays de production pour les produits transformés.

Après un travail de longue haleine mené par France Nature Environnement pour mobiliser et sensibiliser nos élus sur cet enjeu, c’est maintenant à vous de jouer.

Vous vous êtes fortement mobilisés dans la consultation publique pour porter cette demande.

La bataille n’est pas finie : elle bat actuellement son plein puisque ce nouvel étiquetage peut être réintroduit par les députés.

Ensemble, donnons de l’écho à cette proposition.

Environnement : Demandons l’inscription dans la loi de la sortie du Glyphosate en 3 ans

Pétition: La France doit respecter son engagement de sortie du glyphosate en 3 ans, au plus tard fin 2020 #EGAlim

 

Alors que l’autorisation du glyphosate, herbicide le plus vendu au monde, a été prolongée pour 5 ans en Europe à l’automne dernier, Emmanuel Macron s’est, lui, engagé à l’interdire « au plus tard dans trois ans ».

Le projet de Loi Agriculture et Alimentation (loi issue des Etats Généraux de l’Alimentation) débattu à l’Assemblée nationale en ce moment (et présenté en plénière du 22 au 29 mai), offre l’opportunité de concrétiser cette promesse.

Or le gouvernement semble rétropédaler puisqu’une proposition d’amendement pour interdire le glyphosate du rapporteur de la Loi, M. Moreau, a été retirée lors de l’examen en commission des Affaires économiques, suivant ainsi l’avis défavorable du ministre de l’Agriculture Stéphane Travert.

Mais il n’est pas trop tard : l’engagement d’interdire le glyphosate en France au plus tard dans trois ans peut encore être intégré à cette Loi. 

Consommation : Europe, des voix s’élèvent pour des smartphones durables et respectueux de l’environnement

Pour des smartphones durables et respectueux de l’environnement

On estime ainsi que 70 kg de ressources naturelles sont utilisées pour produire, utiliser et éliminer un seul smartphone.

Améliorer la conception des téléphones pour les rendre plus durables et réparables est donc indispensable à la fois pour les consommateurs et pour l’environnement.

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Vitre brisée trop chère à remplacer, batterie usée impossible à démonter, téléphone incompatible avec la nouvelle version du logiciel, performance réduite…

Comme 78 % des consommateurs européens, vous avez peut-être déjà remplacé votre smartphone pour une telle raison.

Les smartphones sont particulièrement victimes d’obsolescence programmée, qu’elle soit technique, logicielle ou esthétique. Certains fabricants n’hésitent pas à rendre leurs produits inutilisables pour en encourager le renouvellement.

Suite à une plainte déposée par HOP, le parquet de Paris a notamment ouvert une enquête contre Apple pour obsolescence programmée.

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Consommation : Imprimantes, le coùt de la panne ?

Les fabricants d’imprimantes mis en cause par une plainte pénale en obsolescence programmée

Imprimantes : Cas d’école d’obsolescence programmée

Le Rapport

Rapport-HOP-final

Téléchargeable

 

Les faits mettent en cause les pratiques des fabricants d’imprimantes qui visent à raccourcir délibérément la durée de vie des imprimantes et des cartouches.

Les marques HP, Canon, Brother et en particulier Epson sont citées dans la plainte.

Il s’agit de la première action judiciaire française sur le fondement du délit d’obsolescence programmée.

Parmi les techniques relevées :

  • des éléments des imprimantes, tel que le tampon absorbeur d’encre, sont faussement indiqués en fin de vie ;
  • le blocage des impressions au prétexte que les cartouches d’encre seraient vides alors qu’il reste encore de l’encre.

Si elles sont avérées, ces pratiques pourraient être qualifiées d’obsolescence programmée reconnue comme un délit depuis la loi Transition énergétique de 2015.

En effet, l’article L. 441-2 du Code de la consommation dispose qu’« est interdite la pratique de l’obsolescence programmée qui se définit par le recours à des techniques par lesquelles le responsable de la mise sur le marché d’un produit vise à en réduire délibérément la durée de vie pour en augmenter le taux de remplacement ».

Le délit d’obsolescence programmée est puni d’une peine de deux ans d’emprisonnement et d’une amende de 300 000 euros qui pourra être portée jusqu’à 5% du chiffre d’affaires.

Dossier de presse de la plainte engagée pa HOP contre les fabricants d’imprimantes

Dossier-de-presse-imprimantes-VF-1

Téléchargeable

Pour la première fois depuis le dépôt de la plainte par HOP contre certains fabricants d’imprimantes, Epson est sorti le 26 mars de son silence pour fournir certaines explications.

Décryptage.

Le rappel des faits

Suite au dépôt d’une plainte par HOP en septembre 2017,  le Procureur de la République a ouvert fin décembre, une enquête préliminaire visant Epson pour obsolescence programmée et tromperie, une première en France.

Epson est accusé de raccourcir délibérément la durée de vie de ses cartouches d’encre et imprimantes.

Plusieurs techniques sont dénoncées dans le rapport de l’association «  Imprimantes : cas d’école d’obsolescence programmée ? » (septembre 2017) et par les témoignages d’utilisateurs : des cartouches affichées vides alors qu’elles contiennent encore de 20 à 40 % d’encre, le refus d’impression en noir quand une cartouche couleur est vide, voire le blocage d’autres fonctions de l’imprimante comme la numérisation ainsi que des tampons absorbeurs d’encre faussement indiqués en fin de vie.

La colère des utilisateurs ne fait qu’augmenter, comme en témoigne le nombre de témoignages qui ne cessent de parvenir à l’association et les dires même d’Epson qui reconnaît que « ces derniers mois, le service clients a dû faire face à une inflation d’appels de personnes réclamant des explications ».

Par ailleurs, La Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF), responsable de l’enquête, a récemment auditionné l’association HOP qui se dit confiante dans la suite de la procédure.

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Consommation : Collants : cas d’obsolescence programmée

Halte à l’obsolescence programmée

 

 

Les collants ne durent pour la plupart,  pas au-delà de 6 utilisations : ce gaspillage nuit à la planète comme à notre pouvoir d’achat.

Serions-nous victimes d’obsolescence programmée ?

Nous dévoilons dans cette étude les dessous de l’histoire du collant, le classement des marques les plus durables mais également les pistes pour allonger la durée de vie des collants.

L’association HOP publie un rapport d’enquête inédit sur l’obsolescence accélérée des collants.

Elle dévoile le classement des meilleures et des pires marques. HOP appelle fabricants, vendeurs et consommateurs à agir afin d’obtenir des produits plus durables

Le-rapport-sur-les-collants

Téléchargeable .

 

Consommation : L’Abus de faiblesse

L’Abus de Faiblesse

Vous trouverez dans les fiches pratiques de INC Consommation, tous les renseignements concernant l’Abus de Faiblesse

Dossier disponible sur INC Consommation

Si vous pensez être victime d’un abus de faiblesse ou, tout simplement, pour éviter ce genre d’abus, vous trouverez dans ce dossier de l’Institut national de la consommation toutes les réponses à vos questions.

Qu’est-ce que l’abus de faiblesse ?

Comment le reconnaître ?

Quelles sont les précautions à prendre pour éviter cette situation ?

Quels sont les recours si vous en êtes victime ?

Quelles sont les sanctions auxquelles s’expose l’auteur de l’abus ?

Réponses dans les fiches pratiques

Environnements : Vous êtes-vous déjà demandé combien de temps les déchets mettent à se décomposer dans la nature ?

Combien de temps nos déchets mettent-ils à se décomposer dans la nature ?
22 exemples édifiants.
Attention à nos déchets, ne les jetons pas dans la nature !
Article vue Sur POSITIVR
Vous êtes-vous déjà demandé combien de temps les déchets mettent à se décomposer, lorsque par malheur ils se retrouvent dans la nature ou qu’ils rejoignent les océans ?
Une bouteille plastique jetée à la mer aujourd’hui sera probablement encore dans l’eau à la naissance de nos arrières-arrières-petits-enfants.
Un constat qui donne le tournis.

Environnement : qui pollue les océans avec l’équivalent d’une benne à ordures chaque minutes ??

Article à lire sur La Relève et la peste

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Pollution des océans :

Coca-Cola pollue l’équivalent d’une benne à ordure chaque minute

« Coca-Cola cache l’étendue de son empreinte plastique et refuse de prendre des mesures significatives pour empêcher la pollution de nos océans par ses produits »

Trop de bouteilles à usage unique

En tant qu’acteur majeur du secteur, Coca-Cola devrait prendre la tête de la transformation écologique des modes de consommation, en favorisant un double mouvement : le passage au 100 % recyclé dans les matériaux d’emballage, mais aussi, plus important encore, la sensibilisation du public à la réutilisation et à la réduction maximale des emballages – car une bouteille, qu’elle soit en plastique recyclé, réutilisé ou bioplastique, reste une menace pour la vie des océans.

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