FETE DE LA POMME BIO
On goûte ,on cueille , on fait les gourmands : des tartes , des compotes , des gelées et on CROQUE!!!!!
Une soirée-Débat est organisée, le jeudi 15 Novembre 2018, au Cinéma Le Foyer à Douvres, autour de deux documentaires :
Xavier Deleu & Jean-Baptiste Malet, Production Little Big Story, 52′, 2017
L’agro-écologie dans l’oasis de Chenini : préserver ensemble
Sonia Ben Messaoud et Laetitia Martin, Production Une Seule Planète, 37′, 2017
Par l’association BIO EN DRUANCE
Le Samedi 22 septembre 2018
à SAINT JEAN LE BLANC
-Marché “Bio et local, c’est l’idéal”
-Visite de 4 fermes
-Animations pour petits et grands
-Restauration sur place et buvette
article à lire sur POSITIVR
Les cultures tomberaient moins malades sans les pesticides censés les protéger.
Une révélation aux accents de révolution.
En plus de nuire à la santé et à l’environnement, les pesticides seraient moins efficaces que le bio pour lutter contre les maladies des cultures.
Telle est la conclusion surprenante de l’Institut national de la recherche agronomique (INRA) et de l’université de Rennes.
Une nouvelle victoire qui pourrait faire date.
Pourvu que ces révélations donnent un nouveau gros coup de pouce à une agriculture bio déjà en plein essor et pourvu qu’elles incitent nos politiques à légiférer en faveur d’un abandon rapide des pesticides.
Vidéo très interessante à voir, sur “l’économie solidaire”
Dans cette vidéo, Jean Louis LAVILLE revient sur les fondements tant historiques que philosophiques de l’économie solidaire.
A travers une première revue des mouvements politiques qui ont contribuer tantôt à l’émergence et la structuration du mouvement associationniste, tantôt à sa décrédibilisation, il cherche à définir les différentes acceptions de la solidarité.
Dans un deuxième temps, il revient sur les liens entre mouvements sociaux et initiatives d’économie solidaire au cour du XX°s, afin de montrer les grands enjeux qui la traversent et les potentiels scénario sur l’avenir de son évolution.
Evitons le gaspillage
Article à lire sur POSITIVR
Si vous avez un jardin, vous êtes chanceux.
Et s’il abrite un potager et des arbres fruitiers, alors vous l’êtes d’autant plus.
Peut-être même au point de déborder de fruits et de légumes à ne savoir qu’en faire ?
La lutte contre le gaspillage alimentaire fait régulièrement l’actualité.
C’est pourquoi Benjamin Guibert, un Toulousain, a décidé d’apporter sa pierre à l’édifice en fondant
Cette plateforme entre particuliers permet de donner, de troquer ou de vendre sa production personnelle de fruits et légumes.
Vous avez un surplus de production et vous aimeriez en faire profiter votre voisinage ?
Rendez-vous sans plus tarder
sur le site internet de Fruit and Food.
Certains éleveurs du secteur laitier, frappé par une profonde crise, ont vu leurs revenus baisser de 40 %.
Dans le même temps, les grandes familles de l’industrie du lait, elles, ont augmenté leur fortune de 48 % en moyenne.
Un exemple très concret de l’inégale distribution des richesses en France.
Le Mercredi 25 juillet 2018
Ferme des Hauts d’Escures, à Saint Jean Le Blanc
“PRENDRE SOIN DE LA NATURE ET DE LA TERRE”
Article à lire sur Mr Mondialisation
La progression des « sols morts » se poursuit à une vitesse vertigineuse et de nouvelles pratiques agricoles s’imposent.
Au Champ des Treuls, dans le Haut-Anjou (49), on essaye d’essaimer une agriculture où l’on ne travaillerait plus le sol, avec l’objectif d’y favoriser la vie.
Découverte d’une technique qui se distingue, alors que le travail de la terre et le labour restent des symboles de la profession.
Prendre soin du sol fait partie du premier principe éthique de la permaculture dont l’énoncé est
« Prendre soin de la Nature et de la Terre ».
Ce qui peut sembler être une évidence a pourtant été progressivement oubliée par l’agriculture intensive, qui a fait de la terre un simple support, l’énergie étant apportée par la main des travailleurs via les engrais chimiques. Cette évolution a été récemment poussée à son paroxysme, le sol devenant superflu pour certaines cultures, par exemple celles des tomates, en développant une agriculture dite « hors-sol » (mais particulièrement énergivore).
Aujourd’hui, on estime que
« 40 % des sols cultivés du monde sont déjà dégradés en conséquence des activités humaines ».
En Europe,
la vie organique a disparu de 90 % des sols cultivés.
Qui voudrait encore le nier :
il y a urgence à changer de modèle et à réinventer l’agriculture.