

Une fête de la Bio portée par les producteurs bio de Normandie



12H:Cochon mariné et grillé au barbecue (Ferme des crêtes)
Version végé sur place
14H/18H: Grand Bal avec // La Rennes Des Voyous //
15H et 16H: Découverte du Jardin
19H: Tartines grillées : pesto maison, légumes nouveaux de Gardin
Partagéo, fromage de la Boîte à Fromage et pain de la Boulange
19H:
// OLGA BOST //
https://www.youtube.com/watch?v=Uq1RsWg3U-g
20H:
// La Jungle //
https://www.youtube.com/watch?v=z_qScWkxt4U
Camping sur place

Cette vidéo a été réalisée avec la participation de la coopérative Bio Nacre, des maraîchers du Gardin Partageo et de l’AMAP Manger Bio de l’Association Familiale de Douvres-la-Délivrande, association membre du Centre Technique Régional de la Consommation Normandie.
Consommer bio, c’est bien mais ce n’est pas suffisant ! Alors pourquoi manger bio ET responsable ?
Il faut privilégier les circuits d’approvisionnement suivants :
En résumé :


Vous la reconnaîtrez facilement : c’est une casserole surmontée d’un toit avec une cheminée. Elle tend à favoriser une plus grande transparence quant à la fabrication des plats.
La mention « fait maison » concerne:


Nutri-score est un étiquetage qui tend à permettre aux consommateurs de repérer la malbouffe. Nutri-score fournit sur la face visible des emballages alimentaires, une information sur la qualité nutritionnelle globale des produits.
Mais comment le lire ?


Comment s’y retrouver ?
Il existe une abondance des logos et des labels qui vantent les qualités des denrées alimentaires.
En effet, pour pouvoir se démarquer, les professionnels de l’agroalimentaire créent régulièrement des marques, des mentions et des logos qui ventent les mérites de leurs produits. Mais attention, il existe seulement 5 signes officiels de la qualité et de l’origine :

Se passer des grandes surfaces pendant tout le mois de février. C’est ce que propose, pour la troisième année consécutive, le blog suisse En vert et contre tout. Pour réussir ce pari, Kaizen vous suggère cinq alternatives pour redonner du sens à votre consommation.
cinq alternatives pour redonner du sens à votre consommation.
1 – Faire ses courses au marché
2 – S’engager dans une Amap ou rejoindre une ruche
3 – Acheter en vrac
4 – Devenir membre d’un magasin coopératif
5 – Faire ses propres cosmétiques et produits ménagers


2018 fut une année intense, entre la sortie de « Zéro Phyto 100% Bio » et mon nouveau projet viticole… Je n’ai pas eu le temps de beaucoup souffler mais j’ai tout de même eu le temps de faire le point sur les futurs projets documentaires 🙂
2019 s’annonce plutôt bien partie avec la sortie du DVD de « Zéro Phyto 100% Bio » dont la date officielle est prévue pour le 2 avril 2019, la VOD devrait être disponible à la même date. Le tournage de la suite de « La Clef des Terroirs » recommence après une année de césure car j’en avais sûrement besoin… Ne pas toucher la caméra et a un logiciel de montage fait beaucoup de bien pour tout avouer !
2019 est aussi le début d’une nouvelle aventure pour mon site car je suis enfin mon propre fournisseur de VOD afin d’être toujours plus indépendant et pouvoir un peu plus maitriser mes projets de la création à la distribution. C’est dans ce cadre que « La Clef des Terroirs » est disponible gracieusement en VOD. C’est mon premier documentaire qui est sorti au cinéma en 2011 et qui m’a fait longuement voyager en France, Belgique, États-Unis, Japon, Inde, Chine… afin d’animer des débats et faire évoluer les consciences sur les problématiques d’une agriculture plus vertueuse. La version 52 minutes a été diffusé 24 fois sur Ushuaïa Télé et 3 fois sur la RTVE (chaine nationale espagnole !). Vous trouverez toutes les infos pour voir ce film sur mon site www.dahu.store



«Si on généralise l’agro-écologie sur la planète, en dix ans on double la production alimentaire des nations, en réduisant la pauvreté rurale et en apportant des solutions au changement climatique.»
« L’agroécologie est intense en main-d’œuvre et en connaissances : elle suppose des transferts de savoirs, repose sur les échanges entre les paysan(ne)s, les érige en experts. Au lieu d’être issues des laboratoires, les bonnes pratiques agricoles sont issues des champs que l’on cultive. »